La pieuvre à anneaux bleus

La pieuvre à anneaux bleus est de la famille des octopodes dans le monde marin. Les octopodes sont connus comme étant des mollusques à huit bras. Cette espèce de pieuvre mesure entre 10 à 15 cm et pèse une cinquantaine de grammes environ. Elle est d’une splendeur avec sa petite taille et sa couleur attrayante. Au-delà des apparences, la pieuvre à anneaux bleus possède un venin mortel très puissant capable de tuer un individu en 15 minutes. On peut le localiser dans l’océan pacifique.

Le coquillage conus

Cette espèce de mollusque vit dans les zones chaudes du globe et ne sort que la nuit pour s’alimenter. Son nom de coquillage n’est qu’un aspect à l’égard de la menace qu’il porte. Le coquillage conus est accompagné d’un poison qui peut abattre sa victime en moins de 2 heures. Il injecte son venin à l’aide de son dard venimeux. Il s’éclipse dans les roches marins tout le reste de son temps.

Le poisson-pierre

Le poisson-pierre réside dans les eaux chaudes tropicales. Il est connu comme le poisson le plus venimeux au monde. Il consomme des petits poissons et des crustacés. Son camouflage le rend indétectable. C’est un atout qui lui permet de bien se fondre dans le décor pour avoir plus d’avantages et aussi de se cacher de ses prédateurs. Il dispose de 13 épines acérées au niveau de la nageoire dorsale.

L’oursin

L’oursin est l’une des espèces aquatiques à toxine les plus mortelles pour l’homme. On le baptise oursin fleur par son apparence adorable, mais qu’on ne doit jamais toucher. Il est muni d’une toxine fatale en cas de contact avec l’homme.

L’aigle serpentaire

Cet aigle est aussi appelé en malagasy Fandrasalambo ou Firasabe. Son nom scientifique est Eutriorchis astur. L’aigle serpentaire est abrité par les forêts humides sur la côte orientale de Madagascar. Souvent, il mesure dans les soixantaines de centimètres et pèse dans les 800 g. Il pousse des cris imitant le coassement de la grenouille, mais tire son nom de sa manière de se nourrir, surtout de serpent. Cette espèce est menacée par l’irresponsabilité des hommes : ils détruisent son habitat par la déforestation et les feux de brousse.

L’aye-aye

Scientifiquement, on nomme ces lémuriens nocturnes Daubentonia madagascariensis. Il a de larges oreilles, de gros yeux de hibou et 18 dents de rongeurs sans canine, mais quatre très longues incisives qui ne font que pousser. Il est de petite taille et a la queue d’un petit écureuil bien touffue. Il se nourrit d’écorces et de noix de coco. Les doigts de l’aye-aye sont squelettiques avec des griffes. Il se sert de son 3e doigt des membres antérieurs pouvant pivoter dans tous les sens pour dénicher les larves aux creux des arbres. En cas de danger, le cri de ce dernier habituellement strident et court devient grinçant et aigüe. Généralement solitaires, ils peuvent aussi vivre en couple. La femelle donne un bébé par portée. Ce sont les forêts pluviales primaires, les plantations de cocotiers, et les forêts sèches à feuilles caduques qui hébergent les aye-aye. Les habitants croient qu’ils portent malheur, alors ils les exterminent et détruisent leurs nids par la découpe des arbres. Ils utilisent le bois obtenu pour fabriquer des charpentes. L’aye-aye est classé comme une espèce en danger immédiat d’extinction.

Les tortues marines dites Fanohara

On retrouve les Fanohara ou Eretmochelys imbricatavintsioides, de la famille Cheloniidae, sur les côtes ouest et nord-ouest de Madagascar. Leur carapace mesure 65 à 190 cm. Elles vivent dans la mer, mais les nuits de pleine lune elles viennent pondre leurs oeufs sur le sable. Chassées pour leurs valeureuses carapaces, elles risquent aussi la mort à cause de la pollution marine; les pauvres prennent les déchets plastiques pour des algues avec lesquels elles s’étouffent.

La classification des chevaux selon leurs couleurs

On parle de races de chevaux qui se distinguent par la couleur. Il en existe deux types : le Palomino et le Pinto. Le premier type est de couleur dorée. C’est le plus recherché, mais on peut en apercevoir en Amérique. Il a connu beaucoup de succès dans le monde du cinéma aux États-Unis.

Le Pinto, lui, est un cheval disponible en plusieurs couleurs : du blanc et des couleurs foncées peuvent se trouver en même temps sur sa peau.

La classification selon la discipline

Cette classification met en valeur la discipline avec laquelle le cheval a été entraîné. Elle ne concerne en aucun cas l’apparence, mais la performance des chevaux qui participent aux courses, et au saut d’obstacles.

On distingue : l’Autre que Pur-sang qui est doué pour la course au galop et le Zangersheide qui est spécialisé dans les sauts d’obstacles. En effet ces deux types se différencient par les activités sportives et non la race.

La classification selon l’origine

Elle consiste à classifier les chevaux selon leur origine géographique. L’américain Indian Horse constitue ceux qui viennent d’Espagne, mais qui se sont habitués à vivre aux États-Unis grâce à l’aide de leur propriétaire.

Il y aussi le cheval ibérique qui vient de la vaste péninsule au sud de l’Europe, venant principalement de l’Espagne et du Portugal. Ce type originaire d’Europe s’est répandu en Amérique au 18ème siècle.

Voir une libellule dans sa transformation

L’espace extérieur est le terrain de vie privilégié des libellules. Lorsque vous les rencontrez dans un espace de verdure, c’est souvent lorsque vous avez besoin de conseils spirituels afin de surmonter un obstacle dans votre vie. Cette créature est amenée à voyager sur de longues distances au cours de sa vie.

À sa naissance, elle a la forme de nymphe aquatique, attendant patiemment au même endroit. La chaleur du soleil lui permet ensuite de se métamorphoser en une libellule rayonnante et belle. Vous pouvez en savoir davantage sur son cycle de vie sur ce site web.

Le voyage spirituel de chaque personne est similaire à l’évolution de la libellule. Il est rythmé par des périodes d’introspection et de repos profond. Ces phases peuvent servir à définir vos propres passions spirituelles et valeurs fondamentales. En étant aligné sur votre sagesse supérieure, vous pouvez sortir au soleil et créer la réalité que vous êtes censé vivre. Le soleil doré représentera votre plan énergétique unique, vous aidant à optimiser votre potentiel de manifestation et à avancer à votre plus haute vibration.

Voir une libellule dans votre vie de tous les jours

Voir une libellule peut indiquer que vous êtes dans une période énergétique de votre vie, vous garantissant plusieurs grands avancements. De la même manière que cette créature chasse pour se nourrir, vous pouvez mettre de l’énergie dans une action rapide, déterminée, concentrée et qui répond à un objectif plus élevé. La libellule, après son émergence des eaux, accepte et comprend de manière intuitive le flux de l’univers. Cette connaissance intuitive l’aide à saisir les opportunités qui s’offrent à elle, ce que vous pouvez aussi appliquer dans votre vie.

La libellule se déplace grâce à l’eau et le feu au cours de son voyage. Le mélange de ces énergies représente l’équilibre entre le Yin et le Yang. Voir une libellule peut ainsi signifier que vous devez accorder de l’importance à équilibrer les énergies féminines et masculines dans votre vie. L’eau est, en effet, l’élément de l’amour, de l’énergie nourricière, de l’intuition, de l’émotion et de l’introspection. Le feu, quant à lui, symbolise la sexualité, l’enthousiasme, la passion, l’action et la croissance énergétique.

Équilibrer ces deux éléments vous permet d’éviter de devenir trop submergé émotionnellement ou de vous épuiser trop rapidement dans votre vie quotidienne. La libellule vous enseigne durant sa manifestation la nécessité d’un équilibre entre une introspection réceptive et une action énergique.

Voir une libellule dans votre maison

Votre maison s’apparente à votre espace le plus sacré. C’est là où vous vivez et où vous avez la possibilité d’être réellement vous-même. Cet espace encourage votre croissance spirituelle et votre énergie. Voir une libellule dans votre habitation peut signifier l’harmonie domestique, la conscience de soi, la paix, le bonheur et la protection. Il peut s’agir d’un présage relativement positif, synonyme de bénédiction dans votre vie.

Toutefois, il est possible que vous rencontriez une libellule morte dans votre domicile. La mort constitue un symbole de transformation et de changement. Apercevoir cette créature à sa fin de vie peut ainsi représenter la fin d’un chapitre de vie et le début d’un nouveau. Il peut s’agir également d’une relation ou encore d’un travail.

Vous pouvez aussi voir une libellule dans vos rêves. Cela a une signification profonde. Il est peut-être temps de vous débarrasser de vos sentiments d’insécurité et de vous défendre.

Le tigre du Bengale

En ce moment même, il n’existe plus que 3 000 à 4 500 tigres du Bengale dans le monde entier. Plusieurs personnes lui portent beaucoup d’intérêt à cause de sa fourrure. En effet, c’est un pelage blanc qui lui différencie des tigres normaux. Certaines personnes le convoitent aussi pour les parties de son corps dites médicinales notamment ses dents, ses os, ses yeux et son sang. Il fait alors partie de la liste des animaux en situation forte d’extinction.

Le gorille d’Afrique

Le compteur actuel des gorilles se situe vers les 110 000 individus, dont 0,63 % des gorilles de montagne. Cette espèce est menacée par les braconniers, les chasseurs, et les feux de brousse. Par la suite, ces événements entraînent une dégradation de son habitat, ce qui force l’animal à devoir partir et s’éteindre petit à petit. Aussi, il est prouvé que plusieurs de ces gorilles meurent à cause de la pollution engendrée par la technologie.

Le rhinocéros de Java

Parmi les espèces citées ci-présentes, les rhinocéros de java ont le chiffre le plus petit. Ils sont au nombre de 58. Il fait partie de la liste rouge des animaux dans un cas critique de disparition. Il est dans le lot, car il est très réputé pour ses qualités médicinales traditionnelles. Comme il se trouve généralement dans les régions asiatiques, le parc national d’Ujung Kulon est l’un des rares parcs qui en hébergent. La plupart du temps, il est aussi possible de le rencontrer en Java et en Indonésie.

L’éléphant d’Asie

Pour un nombre exact de 50 000 individus dans le monde, l’éléphant d’Asie se retrouve quand même dans la liste pour son cas particulier. Cette fois-ci, son extinction n’est pas due à son exploitation directe, mais plutôt indirecte. À vrai dire, 75 % des forêts ont été décimées depuis plus d’un siècle en Asie. Ces forêts furent l’habitat de ces derniers, ce qui entraînerait une diminution de son espèce. Toutefois, il n’est pas à négliger que beaucoup de personnes se servent aussi de ces bêtes à des fins domestiques ou de chasse.

Le Blanc de Hotot

Le Blanc de Hotot est l’une des plus belles races de lapin. Ce bel animal possède un pelage blanc et de beaux yeux bruns entourés d’un cercle noir. Ce dernier a été adopté par Eugénie Bernhard en 1902 en France, depuis lors, ce beau petit lapin est devenu hyper célèbre. Ce mignon lapin est très petit. Il possède un caractère assez timide, calme et très doux. Le Blanc de Hotot adore manger, et si vous ne lui faites pas suivre un régime assez strict, il peut devenir obèse.

Rex

Le lapin Rex, peut avoir deux tailles différentes, la taille standard, qui pèse entre 3 à 5 kg, puis la taille mini, qui pèse entre 1 à 2 kg. Il peut avoir plusieurs couleurs comme le noir, le blanc et le marron. Leurs pelages sont extrêmement doux. Ce beau lapin est de nature très active, voilà pourquoi, il vous est conseillé de les laisser courir dans la maison et de laisser leur cage ouverte.

Lapin Bélier

Connue pour ses longues oreilles tombantes, le Lapin Bélier est une race de lapin assez calme et très douce. Voilà pourquoi, il est parfait pour être élevé dans un foyer.

Angora Anglais

Cette race de lapin provient en effet d’Ankara en Turquie. Il pèse entre 2,5 et 3,5 kg. Très connue pour ses longs et épais poils, le lapin Angora Anglais peut être doté de différentes couleurs, blanc, gris, noir, marron, etc. En fait, cette belle petite peluche a besoin d’un brossage régulier. Il possède un caractère assez calme et parfois timide.

Caractéristiques physiques

Le lion est un grand animal musclé. Il mesure en moyenne 250 cm sans compter la queue qui peut atteindre jusqu’à 90 cm. Le mâle pèse entre 200 kg à 250 kg, tandis que la femelle, plus légère, pèse seulement jusqu’à 170 kg.
La crinière, absente chez la lionne, permet la distinction entre le mâle et la femelle. La couleur de son pelage varie de jaune à ocre foncé, et les petits lionceaux ont des taches sombres qui disparaissent après une année.

Alimentation et prédateur

Les lions sont des carnivores, ils se nourrissent de presque tous les animaux de la savane. Zèbre, gnous, buffles, gazelles, oiseaux, poissons, antilopes… Ils chassent généralement de bon matin et se reposent le jour. Ce sont surtout les femelles qui partent à la chasse, mais le mâle doit toujours être servi en premier.
Il n’a pas de prédateur en général, cependant, le jeune lionceau peut se faire attaquer et se faire manger par les hyènes s’il s’égare.
Les hyènes et les lions mangent les mêmes bêtes, donc, ils sont constamment en concurrence. Ils arrivent que les deux clans s’attaquent, sans pour autant se nourrir du clan adverse.

Reproduction

Les lions arrivent à maturité à l’âge de 3 à 4 ans. La femelle choisit son partenaire et le mâle doit attendre l’accord de la lionne. Elle lui tourne autour, se frotte contre son cou pour l’attirer.
La gestation de la lionne dure environ 110 jours. Elle peut donner jusqu’à 4 petits lionceaux qu’elle emmène loin de son clan pour les protéger.

Le reptile, c’est quoi ?

En latin, « reptile » signifie « rampant ». Nous pouvons ainsi déduire d’emblée que les reptiles sont des animaux qui se déplacent en rampant. Oui, mais tous les reptiles ne rampent pas.
Les reptiles ont d’autres caractéristiques qui les distinguent des autres espèces. Les reptiles désignent aussi les animaux qui, à défaut de ramper, se déplacent avec les pattes écartées et le ventre aligné au
sol.

Pour reconnaître les reptiles, nous pouvons également les définir comme étant des animaux dont la température est variable. Ils ont un corps recouvert d’écailles et allongé sur le sol. C’est ainsi que ces derniers se déplacent presque en rampant.

Si les reptiles étaient, autrefois, considérés comme étant monophylétiques, ils ne peuvent plus désormais porter cette dénomination. Pour cause, les reptiles ont créé une nouvelle descendance, ce qui enlève définitivement l’existence d’un ancêtre commun. De nos jours, les reptiles sont classés paraphylétiques pour pouvoir y classer les nouveaux arrivants : oiseaux et mammifères.

Les reptiles sont-ils en voie de disparition ?

Malheureusement, de nombreuses catégories d’espèces font actuellement face à une disparition précoce. Certains reptiles sont classés en voie de disparition. Il faut noter que ces animaux ont un mode de vie bien à eux, ainsi qu’un environnement qui leur est favorable dont nous vous ferons part dans les paragraphes suivants.

Les reptiles ont toujours fait l’objet d’attaques et de croyances non fondées qui portaient grandement préjudice à leur vie.

Si les reptiles se retrouvent au milieu de la chaîne alimentaire, ils jouent deux rôles : proie et prédateur. Sans la présence de ces derniers, la chaîne alimentaire ferait face à de grandes problématiques pour la continuité de cette dernière.

L’existence des reptiles remonte à plus de 250 millions d’années et leur présence est remarquée, autant en mer que sur terre. Pourtant, ils font face aujourd’hui à une grande menace.
À cause de l’évolution du monde terrestre, les reptiles et plusieurs autres animaux se retrouvent dans un état particulièrement critique. En effet, la pollution et la destruction de l’environnement qui leur est favorable sont l’une des causes de ce risque d’extinction. Les chasses régulières participent également à cette disparition. Pour l’heure, 19 % des reptiles sont menacés, et 12% se retrouvent en danger réellement imminent.

Quelle est l’implication de l’Homme dans le risque d’extinction des reptiles ?

Comme nous l’avons mentionné ci-dessus, il existe plusieurs facteurs qui causent le risque d’extinction des reptiles. Si l’évolution naturelle de la Terre y est pour quelque chose, force est de reconnaître que l’Homme est celui qui est à l’origine de la plupart des risques.
En effet, avant d’accuser Dame Nature, nous devons préciser que c’est l’Homme qui est, aujourd’hui, responsable des changements et du réchauffement climatique. Il nous arrive de sous-estimer ce réchauffement, alors qu’il cause énormément de dégâts à l’écosystème et à l’existence de la vie sur Terre.

Bien sûr, cet acharnement de la Nature n’est pas venu seul. L’Homme ne cesse d’évoluer au détriment de la nature et des espèces qui cohabitent avec nous.
La pollution de l’eau, de l’air et de la terre nuit gravement aux animaux, dont les reptiles. En plus de cela, nous les persécutons sans forcément nous en rendre compte. En effet, certaines activités nécessitent l’urbanisation et de nouvelles constructions. En d’autres termes, il faut rétrécir l’espace des animaux pour la vie de l’Homme.

Comme nous sommes les plus dominants sur la planète, les animaux, comme les reptiles, ne peuvent rien faire face à cette situation et commencent à mourir à petit feu.
Par conséquent, malgré l’avancement naturel de la situation, il faut reconnaître que c’est surtout l’Homme qui est à l’origine du risque d’extinction des reptiles, notamment le dragon d’eau et la tortue alligator.

L’environnement adéquat pour les reptiles

Les reptiles couvrent la totalité du globe, à l’exception des extrémités des pôles où la température est trop basse. De ce fait, nous pouvons facilement constater que les reptiles n’ont pas de fortes exigences. Nous les retrouvons partout, que ce soit dans le désert ou dans la verdure. Nous retrouvons également plusieurs espèces de reptiles qui font de l’altitude des montagnes leur logis.
Mis à part cela, il ne faut pas oublier qu’une certaine partie des reptiles vivent dans des milieux aquatiques, notamment les océans, mais également les lacs d’eau douce.
En somme, nous pouvons retrouver la présence de reptiles presque partout dans le monde. Pour cause, ils ont une forte capacité d’adaptation, ce qui leur permet de vivre n’importe où.

Malheureusement, même s’ils n’imposent pas de conditions particulières pour survivre dans le monde, l’environnement dans sa globalité ne cesse de subir des changements. Sans un habitat stable, il est quasiment impossible que les reptiles puissent encore survivre longtemps, un facteur de plus à son extinction. Pour ceux qui ont décidé d’élever un reptile comme le gecko ou le caméléon en guise d’animal de compagnie, reptiligne les invite à bien choisir le terrarium de l’animal.

Si les conditions d’habitat des reptiles ne sont pas particulièrement exigeantes, ce n’est pas le cas de sa reproduction. En effet, les reptiles ont besoin d’un environnement propice pour passer la phase de reproduction et la réussite de cette dernière.

Comment s’opère la reproduction des reptiles ?

La reproduction des reptiles est assez particulière. Si certains sont vivipares, d’autres sont plutôt ovipares. Pour ces dernières, c’est la température accompagnée par les conditions environnementales qui déterminent le sexe.

Suite à la reproduction, il a été constaté que les jeunes reptiles semblent avoir moins d’espérance de survie. Il en est de même pour d’autres espèces. À titre d’exemple, le taux de survie chez les tortues est plus élevé par rapport à celle des serpents. Cependant, les scientifiques remettent cette constatation en doute, car ils pensent que les plus jeunes reptiles ont peut-être plus de facultés à se cacher.

Toutefois, il semble nécessaire de préciser que les reptiles, comme tous les autres animaux sur Terre, ont besoin d’un environnement propice à la réussite de la reproduction.
Par conséquent, la destruction et la pollution de leur habitat naturel provoquent, encore une fois, la baisse considérable de reproduction et mènent, ainsi, au risque imminent d’extinction.
Par ailleurs, les reptiles font partie de ces espèces qui dépendent fortement de l’environnement dans lequel ils se trouvent pour pouvoir se reproduire, raison pour laquelle il est primordial de leur laisser un semblant de nature.

Pour conclure, nous pouvons affirmer que les reptiles sont des espèces qui s’adaptent facilement à l’environnement qui les entoure. Ils se reconnaissent facilement par leur mode de déplacement et les caractéristiques citées ci-dessus. Malheureusement, ces espèces font actuellement face à de gros risques d’extinction, à cause du changement naturel, mais également des dégâts constamment causés par l’Homme. Pour ne pas déséquilibrer l’écosystème et la chaîne alimentaire, il faudrait que l’Homme pense à revoir radicalement son mode de vie, de sorte à ne pas causer de tort aux autres espèces qui cohabitent avec lui.

Pour le garder en bonne santé

Maintenant, pour sa cage, nettoyez-la régulièrement, ou plus précisément, faites-le chaque jour. Nettoyez surtout les perchoirs, ce sont les endroits préférés de votre oiseau dans sa cage. Enlevez tous les résidus qui s’y trouvent (jouets abîmés, coquilles, graines, etc. Rappelez-vous que les perroquets réagissent très mal aux infections bactériennes, aussi, enlevez immédiatement tous les restes d’aliments qui pourrissent vite. De manière régulière également, retirez et remplacez les revêtements de sa cage. N’oubliez pas non plus de nettoyer ses bols de nourriture et d’eau et veillez à ce que nourriture et eau soit changée au moins une fois par jour. Et une fois par semaine, vous pouvez utiliser un désinfectant spécial oiseau pour rendre sa cage nette.

Observez comment se porte-t-il chaque jour

Ne passez pas un seul jour sans regarder comment se porte et se comporte votre oiseau. Cela vous permet de détecter le moindre signe de maladie ou d’anomalie. Tant qu’il se montre alerte, se tient droit et actif, c’est que tout va bien. Autrement, c’est le signal qu’il faut l’emmener au plus vite chez le vétérinaire. Quels sont les symptômes qui devraient vous mettre la puce à l’oreille ? Si jamais le bec de votre perroquet se déforme, semble ulcéré ou dégarni, c’est que quelque chose cloche. S’il présente des difficultés respiratoires, ou des taches ou des gonflements autour des yeux, des paupières et ou des narines, ou encore si son plumage change aussi bien en apparence qu’en texture, s’il perd rapidement du poids ou s’il n’a plus d’appétit, s’il se met à arracher ses plumes ou s’il est curieusement trop calme, vous devez vous précipiter chez le véto avec votre perroquet.

Petit à petit, dressez votre perroquet

Si le vôtre n’a pas encore été dressé par son précédent propriétaire, c’est donc à vous qu’incombe la tâche de le socialiser peu à peu. Comment procéder ? Habituez-le progressivement à votre présence. Approchez-vous de sa cage un peu plus chaque jour, mais ne faites pas de bruit, cela l’effarouche. Ne le regardez pas non plus dans les yeux, il pourrait vous considérer comme un prédateur.

En avez-vous un ?

Il est également essentiel que vous sachiez au mieux tout ce qui le concerne, comme son régime alimentaire, l’habitat qu’il lui faut, l’espace, les compagnies, etc. Et surtout, afin de le garder en bonne santé et en vie le plus longtemps possible, vous devez en connaître un rayon sur les maladies qui peuvent le frapper, les risques qu’il encourt dans son environnement, de même que les soins à lui donner, aussi bien lorsqu’il va mal mais aussi et surtout, au quotidien. Car souvent, ce sont les soins que vous lui prodiguer jour après jour qui vont le maintenir en forme. Voici quelques idées supplémentaires qui peuvent vous servir.

Soins et alimentation

Que devez-vous savoir concernant les soins à donner à un alpaga ? Côté vaccin, il en existe que vous devez lui faire faire régulièrement. Par exemple le vaccin contre l’entérotoxémie doit être fait une fois par an. Il faut aussi le vermifuger selon les saisons, et n’oubliez pas non plus de lui couper les ongles durant la période de tonte (indispensable tout de même pour qu’il ne souffre pas de la grosse chaleur de l’été, ce qui est donc destiné à lui donner confort et bien-être. Mais rassurez-vous, l’alpaga est un animal plutôt rustique, donc, il n’est pas fragile et ne tombe pas malade facilement. Vous devez juste vous assurer de le nourrir convenablement et de l’entretenir comme il se doit. Quant à son alimentation, pas trop de soucis à se faire aussi dans ce domaine, étant donné que l’alpaga est un animal pas vraiment gourmand. De l’herbe suffira amplement, mais si vous ne disposez pas de beaucoup d’espace où il peut brouter à l’envi, il faudra prévoir d’ajouter autre chose à son régime : par exemple du foin, des mélanges de céréales ou de granulés. Un tel apport est essentiel également en plein hiver ou lors de la gestation. Et veillez à mettre à sa disposition de l’eau en permanence.

Soyez soigneux envers votre animal

Par rapport au mélange céréales ou granulés, faites attention de ne pas les laisser n’importe où car si jamais votre alpaga en ingère en trop grandes quantités, cela peut lui être fatal. Et pour éviter qu’il ait des carences en minéraux, en calcium ou en oligo-éléments, placez bien en vue une pierre à lécher mais dans le cas où votre alpaga n’en veut pas, prévoyez un complément sous forme de poudre ou de liquides à verser dans son eau. Et vérifiez qu’il n’y a pas de buis, rhododendron, thuyas et certains lauriers à dans son espace, car ils lui sont très toxiques.